
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a rendu une première partie du sixième rapport sur l’évolution du climat. Les scientifiques qui ont travaillé là-dessus, ont présenté un bilan assez négatif sur la situation climatique actuelle.
Le GIEC est toujours clair sur l’affirmation des catastrophes climatiques qui sont découlées des activités humaines. Les experts ont avancé que d’ici 2030 le réchauffement sera évalué à 1,5° C. Avec cette montée alarmante de la température du globe, on peut s’attendre à l’accroissement des bouleversements météorologiques évidentes. La chaleur va s’accroître considérablement.
À ce sujet, le co-auteur du rapport Christophe Cassou nous dit : « qu’on a des canicules aujourd’hui qui sont plus longues, qui sont plus intenses, qui apparaissent dans des endroits où il ne devrait pas y en avoir, et à des moments de l’année où les températures ne devraient pas être aussi hautes, en particulier dans l’hémisphère nord ». Il a été constaté par les chercheurs que cette décennie a été la plus chaude depuis cent mille ans.
On est pas sans savoir que les retombées néfastes du dérèglement climatique concernent tous les pays du monde particulièrement les États insulaires qui sont les plus vulnérables. C’est un problème mondial. D’ailleurs « c’est la vitesse des changements que nos sociétés humaines sont capables de faire, qui va conditionner le climat futur », a affirmé Cassou.